Aujourd’hui, je poursuis la série Animals in Disguise, mais j’ai délaissé quelque peu le collage pour me concentrer de plus en plus sur l'association d’encres et d’acrylique. C’est avec cette nouvelle technique que j’explore plus avant l’animalité de l’homme.
J’ai commencé cette série en 2005, littéralement sous le coup d’une vision pré-sommeil : celle du diptyque avec d’un côté la femme croco séduisante, et de l’autre, l’homme-zèbre victime. J’y observe – avec plus ou moins de cynisme – les comportements humains, comme on étudierait des animaux enfermés dans un zoo. Car il s’agit bien ici d'humains à tête d’animaux, et non l’inverse.
Il m’arrive parfois de travailler des petits formats sur papier, à l’encre encore, mais aussi aux feutres et aux crayons aquarelle.
Il m’a été donné d’illustrer un numero complet du magazine Manière de voir sur les sociétés sous contrôle. Un thème qui me tenait à cœur et qui a nourrit plusieurs collages par la suite.
Aujourd’hui, je poursuis la série Animals in Disguise, mais j’ai délaissé quelque peu le collage pour me concentrer de plus en plus sur l'association d’encres et d’acrylique. C’est avec cette nouvelle technique que j’explore plus avant l’animalité de l’homme.
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J’ai toujours un grand plaisir à contribuer à la culture locale, que ce soit en donnant des ateliers ou en embellissant du mobilier urbain !
J’ai longtemps été plus à l’aise en noir et blanc qu’en couleurs. La gravure me permet d’assouvir facilement ce besoin de contrastes forts. Le geste, parfois mécanique, de creuser le lino, l’encrage puis le passage sous presse exigent un rythme complètement différent de production. Ces contraintes, et le fait que je préfère travailler sur des plus grands formats pour le moment, font que je n’y suis pas retournée depuis quelques années.
J’ai commencé cette série en 2005, littéralement sous le coup d’une vision pré-sommeil: celle du diptyque avec d’un côté la femme croco séduisante, et de l’autre, l’homme-zèbre victime. J’y observe - avec plus ou moins de cynisme - les comportements humains, comme on étudierait des animaux enfermés dans un zoo. Car il s’agit bien ici d'humains à tête d’animaux, et non l’inverse.
Il m’a été donné d’illustrer un numero complet du magazine Manière de voir sur les sociétés sous contrôle. Un thème qui me tenait à cœur et qui a nourri plusieurs collages par la suite.
J’ai longtemps été plus à l’aise en noir et blanc qu’en couleurs. La gravure me permet d’assouvir facilement ce besoin de contrastes forts. Le geste, parfois mécanique, de creuser le lino, l’encrage puis le passage sous presse exigent un rythme complètement différent de production. Ces contraintes, et le fait que je préfère travailler sur des plus grands formats pour le moment, font que je n’y suis pas retournée depuis quelques années.
J’ai toujours un grand plaisir à contribuer à la culture locale, que ce soit en donnant des ateliers ou en embellissant du mobilier urbain!